Qui sommes-nous ?

Notre charisme

PRIÈRE

Appelées à chercher avant tout Dieu et sa gloire, nous consacrons une part importante de notre journée à la prière : oraison, liturgie des heures, adoration, eucharistie…

Une vie de prière que nous aimons ouvrir et partager avec tous.

Communaute

COMMUNAUTÉ

Engagées au quotidien dans une vie fraternelle teintée de simplicité et de joie, nous apprenons à nous accepter différentes, à aimer au-delà de nos faiblesses. Nos diversités de pays, de milieu et d’âge, sont un défi et une richesse de chaque jour.

MISSION

Envoyées pour aider jeunes et adultes à trouver du sens dans leur vie d’hommes et de femmes, nous participons avec d’autres à la formation humaine et spirituelle de tous. En établissements scolaires, dans des paroisses, des associations de quartier… nous accompagnons chacun afin qu’il puisse s’engager dans la construction d’un monde plus fraternel.

LA PAROLE AUX SOEURS

J’ai reconnu à l’Assomption un chemin qui me fait vivre et qui me rend heureuse.
En 2018, j’ai prononcé mes vœux perpétuels m’engageant ainsi à devenir, toute ma vie durant, une religieuse de l’Assomption.

Sr Amélie

Une des choses que j’aime à l’Assomption, c’est le partenariat avec les laïcs
qui nous sont proches par la spiritualité, la mission et le concret de la vie quotidienne.

Sr Marie-Suzanne

Ce qui m’a saisie à l’Assomption c’est la centralité de Jésus-Christ,
cette passion pour l’Homme.
La mission m’a fait découvrir qu’il ne s’agit pas tant d’apporter Dieu aux autres, que de reconnaître combien Il est déjà présent dans notre humble réalité, chaque culture…

Sr Bernadette

Ma joie, c’est de recevoir du Seigneur chaque matin, 
la grâce d’un regard neuf envers toutes les personnes qui m’entourent.

Sr Marie-Claude

J'ai reconnu à l'Assomption un chemin qui me fait vivre et qui me rend heureuse. En 2018, j’ai prononcé mes vœux perpétuels m'engageant ainsi à devenir, toute ma vie durant, une religieuse de l’Assomption.
Sr Amélie

Une des choses que j’aime à l’Assomption, c’est le partenariat avec les laïcs qui nous sont proches par la spiritualité, la mission et le concret de la vie quotidienne.
Sr Marie-Suzanne

Ce qui m’a saisie à l’Assomption c’est la centralité de Jésus-Christ, cette passion pour l’Homme. La mission m’a fait découvrir qu’il ne s’agit pas tant d’apporter Dieu aux autres, que de reconnaître combien Il est déjà présent dans notre humble réalité, chaque culture...
Sr Bernadette

Ma joie, c’est de recevoir du Seigneur chaque matin,  la grâce d’un regard neuf envers toutes les personnes qui m’entourent.
Sr Marie-Claude

TRANSFORMER LA SOCIÉTÉ
AU MOYEN DE L’ÉDUCATION

Notre fondatrice rêvait d’une société fondée sur les valeurs évangéliques, une société “en devenir”,
 
à la construction de laquelle elle participait, à sa petite mesure.

L’éducateur à l’Assomption partage avec elle cette passion pour la transformation sociale, à travers l’éducation, en vue de l’avènement de la justice. Sa foi le met en action et derrière tout ce processus de transformation personnelle et d’accompagnement des personnes, il entrevoit le Royaume à venir. Sa foi le conduit à l’amour des plus pauvres et des plus petits de notre monde, à la suite du Christ.

Eduquer, c’est une manière de collaborer à la construction du Royaume et de participer à la miséricorde de Dieu envers ceux qui ont besoin de compassion et d’amour, dans la dynamique du mystère de l’Incarnation.

Pour vivre tout cela, l’éducateur s’appuie sur la relecture et la vie intérieure.

Extrait du document « Education Transformatrice à l’Assomption »

Parmi nos différents lieux d’engagements, notre réseau d’établissements scolaires.

Notre fondatrice

Sainte Marie-Eugénie (1817-1898)

« J’ai besoin, pour répondre à ma vocation d’être souverainement expansive, aimante et même joyeuse… »
Lettre au Père d’Alzon, 21 juin 1849.

Née à Metz, Anne Eugénie Milleret reçoit de sa mère le goût du courage, de la liberté, et du service. Les activités de son père, député et banquier, l’ouvrent aux questions sociales et politiques. Sa famille n’est pas pratiquante mais sa première communion, le jour de Noël 1829, la marque profondément : elle est saisie par l’immensité de Dieu qui « lui laisse un lien d’amour ».

Adolescente, elle subit la ruine de son père, la séparation de ses parents et la mort de sa mère dans une épidémie de choléra. Dépouillée de tout soutien, elle se demande quel est le sens de sa vie, quel projet peut combler son grand désir de bonheur. La vie superficielle et mondaine de son milieu ne lui suffit pas, ni une vie chrétienne trop pieuse, qui ne traduit pas les convictions en actes.

En 1836, elle suit les conférences de carême du Père Lacordaire, Dominicain. Bouleversée par ses paroles qui répondent à toutes ses pensées, elle sent en elle une générosité nouvelle, le désir de se donner toute entière au Christ.

Notre fondatrice

Sainte Marie-Eugénie (1817-1898)

« J’ai besoin, pour répondre à ma vocation d’être souverainement expansive, aimante et même joyeuse… »
Lettre au Père d’Alzon, 21 juin 1849.

Née à Metz, Anne Eugénie Milleret reçoit de sa mère le goût du courage, de la liberté, et du service. Les activités de son père, député et banquier, l’ouvrent aux questions sociales et politiques. Sa famille n’est pas pratiquante mais sa première communion, le jour de Noël 1829, la marque profondément : elle est saisie par l’immensité de Dieu qui « lui laisse un lien d’amour ».

Adolescente, elle subit la ruine de son père, la séparation de ses parents et la mort de sa mère dans une épidémie de choléra. Dépouillée de tout soutien, elle se demande quel est le sens de sa vie, quel projet peut combler son grand désir de bonheur. La vie superficielle et mondaine de son milieu ne lui suffit pas, ni une vie chrétienne trop pieuse, qui ne traduit pas les convictions en actes.

En 1836, elle suit les conférences de carême du Père Lacordaire, Dominicain. Bouleversée par ses paroles qui répondent à toutes ses pensées, elle sent en elle une générosité nouvelle, le désir de se donner toute entière au Christ.

Famille de l’Assomption

« Que ton règne vienne »